domingo, 18 de janeiro de 2009

Beaucoup de mes amis sont venus des nuages...

L'amitié, Pablo Picasso

Et oui, avec le soleil et la pluie, comme des oiseaux de passage. Avez-vous déjà écouté cette chanson? Son nom est "L'amitié", elle est magnifique, je l'ai aimée depuis la première fois que je l'ai ecoutée. Il y a une certaine douceur au delà des mots qui m'a fait en tomber amoureuse. La version que j'ai écoutée était chantée par Françoise Hardy.
Mais bien, je ne vais pas écrire a propos des douces chansons, bien que celle-là méritait un article entier pour exprimer tout ce qu'elle me fait sentir toutes les fois que je l'écoute. De toute façon, il est probable que j'écrive à propos de l'amitié aujourd'hui.

D'accord, l'on doit me poser une question très pertinente: "de quoi vas-tu parler aujourd'hui, pour l'amour de Dieu? N'as-tu pas encore décidé le sujet central du blog? Le thème sera toujours l'amitié?". Bien, il me paraît que la seule chose dont j'ai parlé avec mes deux amis pendant les derniers jours c'est exactement quel sera notre sujet. En fin de compte, pourquoi avons-nous créé un blog si nous ne savons pas encore sur quoi écrire!? Je dois admettre que c'est pas facile expliquer, mais on a eu besoin d'avoir un site où toutes nos idées et pensées pourraient être dites sans aucune préoccupation. Comme Fernando nous avait suggéré dès le début de tout, le mot principal est 'liberté'. On peut écrire n'importe quoi. Je crois qu'il a déjà dit ça avant, lorsqu'il a posté un texte ici, hier... et j'en suis contente! C'est enfin décidé!

Aujourd'hui j'ai eu un examen et je préfère ne pas en parler. Bien sûr, il n'est pas agréable de parler sur ce qui ne nous plaît pas du tout. Disons qu'il y a beaucoup de choses plus importantes qui doivent être dites avant tout.
Lorsque je me suis levée ce matin, j'ai commencé à chercher quelque chronique que j'avais écrite il y a deux ou trois ans. Je ne m'en souviens pas bien, mais j'étais accoutumée à écrire tous les jours. Il y en avait des poèmes, des lettres qui ne seraient jamais envoyées, des textes stupides... je sais que j'en serais honteuse si je les trouvais et les lisais encore, mais pour une étrange raison j'ai senti l'envie de les relire plus une fois. Peut-être que ces textes seraient une espèce de passeport pour prendre un vol vers le passé. Je voudrais regarder de nouveau le film de mon enfance et des premiers jours de mon adolescence.

Revoir tous ces scènes perdues par l'effet de ma mémoire faible m'apporterait des souvenirs magnifiques... de temps en temps j'essaie de me rappeler comment j'ai connu Luciano et Fernando et comment nous nous sommes devenus les trois meilleurs amis qui pourraient jamais exister. Ils peuvent dire que j'exagère peut-être, mais ça c'est la vérité. Je ne sais pas ce que je serais si je ne les avait pas connus. Vous vous rendez déjà compte que je suis completement amoureuse d'eux. Bien, c'est un amour fraternel, pur et sincère. Fernando ne pourra pas comprendre ce texte tout de suite, il aura besoin d'un traducteur, et Luciano peut faire ce rôle peut-être. Ils me demanderont pourquoi je dis ça, mais j'ai trouvé que parler sur eux dans les premiers textes de ce blog serait une décision très juste et aussi bien fondamentale. Ça fait presque 11 ans que nous sommes de bons amis, et je sens que je dois leur remercier de leur amitié et leur loyauté tous les jours.
Vous penserez peut-être que c'est étrange qu'une fille dise que ses meilleurs amis son deux garçons. Je comprends qu'on se demande pourquoi je ne parle jamais de mes amies. Bien, la seule amie que j'ai eue n'habite plus au Brésil. Elle est allée en France, le pays d'où son père est. Elle m'appelle de temps en temps et nous parlons beaucoup au téléphone. Mais je parlerai d'elle dans une autre occasion.

Je finis ce petit texte ici. Si vous avez tout lu, merci beaucoup por votre attention. Dans la prochaine mise-à-jour, j'espère pouvoir décrire mieux les premiers ans de notre amitié et les moments dont je me souviendrai pour toujours, indépendamment des lettres ou textes... ce sont des moments enregistré fortement sur mon tableau de memóries.

À plus!

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